les aides à l’apprentissage prorogées !
Les aides de 5000 et 8000 euros pour l’apprentissage vont être prolongées au moins jusqu’à la fin de l’année, a annoncé le nouveau ministre du Travail Olivier DUSSOPT.
La prime prévue dans le cadre du plan « un jeune, une solution » – de 5000 euros pour un mineur et 8000 euros pour un majeur – avait déjà été reconduite à plusieurs reprises. Elle courait jusqu’au 30 juin 2022.
Ces aides avaient été mises en place depuis le début de la crise de la Covid 19 pour permettre aux jeunes de s’insérer dans le monde professionnel pour un coût quasi nul pour les entreprises.
En 2021, grâce à ces aides, plus de 700 000 contrats d’apprentissage avaient été signés en France, un record pour le pays.
« Nous avons réussi un grand pari en matière d’apprentissage, s’est félicité le ministre du Travail. Il y a quatre ans nous étions à 300 000 apprentis par an, nous sommes à 700 000, l’objectif est 1 million. Pour atteindre 1 million il faut prolonger les aides à l’apprentissage. »
Olivier DUSSOPT
Une très bonne nouvelle pour les étudiants en recherche d’alternance, l’apprentissage en France en générale et le développement de nos formations tout particulièrement !
grand défi écologique dans le sport :
la ligue de rugby montre la voie
La Ligue de Rugby Bourgogne Franche-Comté, présidée par notre ami Jean-François CONTANT, a organisé le 13 mai dernier un colloque passionnant sur le thème du grand défi écologique dans le sport, sous la houlette de Julien PIERRE.
L’ancien international de rugby – qui avait réalisé le grand chelem avec les Bleus en 2010, longtemps fer de lance l’ASM Clermont – a créé à la fois une société et un fonds associatif. Ceux-ci ont pour but d’inciter à toutes les démarches écoresponsables, à la mise en place d’Ecosystèmes dans les clubs, conduisant à des économies d’envergure pour lutter contre le dérèglement climatique.
Notre président-fondateur Bernard DEPIERRE, et notre directeur-général Olivier FOUQUET, étaient présents à ce colloque, qui était en plus rediffusé en direct sur la chaîne YouTube de la Ligue de Rugby.
formapi engagé sur la course du bien public
Le 10 septembre prochain, la course du Bien Public fêtera ses 30 ans. Au fil des années, elle est devenue l’une des plus grandes courses de Bourgogne, un évènement incontournable dans le paysage sportif dijonnais qui s’inscrit, qui plus est, comme une course éco-engagée.
Pour la première fois, l’équipe FORMAPI est inscrite sur le 10 km de la Course du Bien Public. 12 salariés de la Maison Camus ont en effet décidé de braver l’effort afin de défendre nos couleurs lors de cette épreuve, dans le cadre du « Défi entreprises ».
L’équipe sera classée grâce aux 4 meilleures performances individuelles qui décideront, de fait, de notre classement final.
Merci à Sarah, Marion, Thomas, Benjamin, Vanessa, Laure-Hélène, Séverine, Elodie, Olivier, Maxime, Ludivine et Mylène pour leur implication et leur engagement !
La plupart d’entre eux ont d’ailleurs déjà débuté les entraînements pour être fin prêts le jour J. Abnégation, travail et talent… Tout FORMAPI en somme.
Le programme 2022
8h : Ouverture du village partenaires
10h : Début des animations
10h30 : Ouverture de l’accueil VIP Partenaires à coté du podium
11h00 : Départ 20 km
12h30 : Ouverture de l’espace Défi-Entreprises
13h00 : Remise de prix 20 km
14h00 : Départ 10 km
15h30 : Départ 2,2 km course jeune
16h00 : Départ 5 km
16h30 : Remise de prix 10 km et 2,2 km
17h00 : Remise de prix 5 km
18h : Fin des animations
ils et elles nous rejoignent
Charlotte Chanson
Depuis le 16 mai dernier, Charlotte CHANSON a rejoint SELFORME en tant qu’ingénieure pédagogique. A 35 ans, elle a décidé de quitter la région parisienne pour s’installer en Côte d’Or. Un choix de vie et professionnel parfaitement assumé.
« Nous avions envie de quitter Paris avec mon conjoint, tout s’est accéléré en l’espace de deux mois mais déjà, je ne regrette pas mon choix. »
Charlotte affiche un cursus aussi riche qu’impressionnant : Bac L, Master 1 Didactique du Français Langues Etrangères, enseignement du Français aux migrants dans le cadre d’un travail d’insertion sociale professionnelle, formatrice en Français et Histoire-Géographie dans un CFA, recrutement-coaching et conception de programmes en Eco-Système du Numérique (ESN), formée en digitalisation de la formation…
En tant qu’ingénieure pédagogique, Charlotte analysera les besoins en formation et apportera toute son expertise de l’écosystème du numérique, alliera son expérience en formation, ingéniérie pédagogique, en digitalisation et ESN.
« J’aime la conception, trouver des solutions et développer » conclut Charlotte.
Curieuse, passionnée, l’adepte des activités culturelles, de l’univers visuel des jeux vidéos et des sports nature va pouvoir laisser libre champ à son imagination.
Baptiste Leduc
Bon, naturalisons-le immédiatement. Né à Evreux il y a 27 ans, le nouvel assistant administratif de FORMAPI peut être considéré comme un Côte d’Orien bon teint puisqu’il a quitté sa Normandie natale pour la Bourgogne à l’âge de deux mois. Depuis, Baptiste LEDUC a tout fait sous nos latitudes : son Bac scientifique, ses envies avortées de faculté de médecine et autre biologie, l’obtention de son BTS Assistant de Manager à Sup’Arcades…
Et depuis ? De l’expérience à foison ! Multicartes. Jugez plutôt : service Trade Marketing des Laboratoires Urgo à Chenôve (relation entre le labo et les pharmaciens), assistant et gestion juridique à la SAFER Bourgogne Franche-Comté et dernièrement technicien RH-Paie au sein du groupe La Poste.
Le monde de la formation ? Franchise en bandoulière, Baptiste le reconnaît :
« Je ne connaissais pas trop mais depuis mon arrivée ici, je m’immerge complètement dans le Pôle Gestion des Apprenants. Il s’agit d’un nouveau challenge pour moi, l’occasion de développer de nouvelles compétences…J’aime l’accueil qu’on m’a réservé ici et le temps qu’on nous donne pour appréhender tout l’environnement de la formation, les diplômes… »
Sérieux et appliqué, Baptiste apprend vite au service de FORMAPI et de nos apprenants.
mélissa digonnet
A 31 ans, Mélissa DIGONNET est une véritable touche à tout. Sourire éclatant en permanence, elle relate le parcours professionnel qui l’a conduite à intégrer FORMAPI le 11 mai dernier, en tant qu’assistante administrative au sein du Pôle Gestion des Apprenants.
De son BAC STG option marketing, la Dijonnaise pur jus a enchaîné par l’obtention d’une licence AES spécialisée dans la gestion des entreprises au sein de l’Université de Bourgogne. Ce cursus elle l’a aussi bonifié, en parallèle, à travers diverses expériences : opératrice de production au sein de l’Association des Paralysés de France, chargée sourcing/recrutement à Sup’Intérim Dijon, assistante de planning chez IPS (Incendie Protection Sécurité)…
Viennent ensuite trois années à Marseille. Là encore, les expériences professionnelles foisonnent : assistante de direction et animatrice au sein de l’équipe d’accueil de l’association « La Cité des Métiers » spécialisée dans l’emploi et la formation ; gestionnaire prestation retraite chez AG2R ou encore co-gestionnaire d’agence chez VIVASON (appareillages auditifs).
Désormais de retour sur son Dijon natal, Mélissa découvre désormais la Maison Camus et rêve de perspectives :
« Je cherchais vraiment un emploi dans l’emploi, la formation, et une structure comme FORMAPI. C’est-à-dire une association qui développe ses activités, qui prend de plus en plus d’ampleur, qui n’a pas peur d’innover, d’aller plus loin… Moi, j’aime avancer, me dépasser, les challenges et avoir des perspectives. »
Tout FORMAPI en somme…
younes mekkaoui
Stagiaire au GIFOD depuis le 23 mai dernier, Younes MEKKAOUI affiche un cursus remarquable. Marocain, il a effectué toute sa scolarité à Rabat : un baccalauréat économie puis un brillant parcours au sein de la Faculté des Sciences de l’Education de l’Université Mohamed V.
Aujourd’hui en Master 2 Technologies Educatives et Innovation Pédagogique, il devait effectuer un stage de six mois pour valider son diplôme. Grâce aux réseaux sociaux professionnels, le voici désormais au sein de la Maison Camus, à Dijon. Loin de Rabat donc :
« J’ai saisi tous les mots correspondant à ma formation et c’est celui du GIFOD qui est ressorti. »
Le temps de postuler et notre collègue Marion VINCENOT répondait immédiatement à sa candidature. Une visio plus tard, plus un travail pratique de création de cours interactif pour le moins probant, et le deal était noué.
A 28 ans, et pour une durée de six mois, Younes développera une mission principale pour le GIFOD : la création pédagogique de cours interactifs. Pour un changement radical : de pays, de repères, d’horizons…
« Il s’agit d’une nouvelle étape dans ma vie mais je suis fier de mon parcours… J’envisage vraiment de me lancer dans la vie active après mon Master 2. Où ? Je ne sais pas encore. Il faut déjà que je valide mon stage. J’ai d’ailleurs une pensée pour tous mes chers professeurs, en particulier mon encadrante Madame Laila BELHAJ, et Monsieur Ahmed BELMOUDEN Chef de Filière. »
Aurélie Pianeta
A 26 ans, Aurélie PIANETA vient d’intégrer FORMAPI en tant qu’assistante administrative au sein du Pôle Pédagogique. Une nouvelle étape dans sa carrière.
En effet, après avoir passé un Bac ES puis un BTS Assistant-Manager au Castel à Dijon, Aurélie a enchaîné les expériences professionnelles. Parmi les plus marquantes : organisatrice d’évènements au CROUS, gestionnaire de comptes chez ADECCO ou encore standardiste, assistante administrative chez DEMOSTHENE.
Quid alors du monde de la formation ?
« C’est une première pour moi, confesse-t-elle. Il s’agit d’une véritable opportunité à mes yeux. Elle va me permettre d’allier mon côté social, ma volonté de travailler en équipe et d’être en contact avec les gens. »
La maman de la petite Leila, âgée de 2 ans, apprécie déjà ses premiers pas à FORMAPI.
« Je n’ai jamais vu une entreprise qui accueille aussi bien les nouveaux arrivants, apprécie Aurélie. Je suis là depuis le 23 mai seulement et j’ai déjà des repères ! »
Idéal, en fait, pour réussir son nouveau challenge. Et de cadrer avec une maxime affirmée :
« Dans mon travail, il ne faut pas qu’un jour ressemble à un autre ».
Chez FORMAPI, c’est sûr, Aurélie ne sera pas déçue.
zoom sur :
La loi visant à démocratiser le sport en france
Après plusieurs mois de discussion au Parlement, la loi visant à démocratiser le sport en France a été votée et promulguée le 2 mars dernier.
Son objet est de démocratiser la pratique sportive pour toutes et tous, de moderniser la gouvernance sportive, de protéger les pratiquants et de renforcer le modèle économique affecté notamment par la crise sanitaire. En voici les grandes lignes.
Pour un véritable droit au sport
La loi vise à rendre le sport plus accessible au plus grand nombre de personnes. Elle renforce ainsi l’accès à la pratique sportive pour les personnes en situation de handicap. Les équipements sportifs scolaires devront pouvoir être accessibles aux associations en-dehors des heures de cours. On voit apparaître la notion de savoirs sportifs fondamentaux comme le savoir nager ou le savoir rouler à vélo.
Le texte permet aussi de poursuivre l’action relative au sport santé, les maisons sport-santé étant désormais inscrites dans la loi et intégrées au code de la santé publique.
La loi simplifie aussi les règles relatives à la présentation d’un certificat médical pour la souscription d’une licence et l’inscription à une compétition sportive. Les entreprises intégreront désormais les enjeux sportifs aux enjeux sociaux, environnementaux et culturels pour l’exercice de leur activité.
Renouveau dans la gouvernance
La volonté du législateur a été d’accroître la transparence dans le fonctionnement des instances sportives. À cela s’ajoute l’intention d’ouvrir à un plus grand nombre de femmes l’opportunité de contribuer au développement du sport et au rayonnement des fédérations en vue de la parité au niveau national en 2024 et au niveau régional en 2028. Les mandats de président de fédération seront désormais limités à 3 pour permettre un renouvellement démocratique.
La loi favorise aussi la lutte contre les discriminations homophobes et transphobes. Elle sanctionne les violences psychologiques, sexistes et sexuelles.
Modèle économique sportif
La loi reconnaît la plateforme de lutte contre les manipulations sportives. Elle autorise les ligues à créer une société commerciale pour la commercialisation et la gestion des droits d’exploitation des manifestations ou compétitions sportives qu’elles organisent, où elles devront conserver 80 % du capital et des droits de vote.
Les sociétés sportives pourront désormais prendre la forme d’une société coopérative d’intérêt collectif (SCIC), structure issue de l’économie sociale et solidaire. Elles réunissent collectivités territoriales, entreprises et particuliers et doivent affecter la majeure partie de leurs profits à l’activité même.