ÉLISE THIÉBLEMONT : « Ici, j’ai trouvé ce qu’il me fallait »

Elise Thieblemont

Directrice-adjointe et responsable du pôle commercial/taxe/communication de FORMAPI, Élise THIÉBLEMONT fait partie des pionniers de la Maison Camus. Elle y a tout connu ou presque. Et regarde toujours plus haut…

Chez FORMAPI, Élise THIÉBLEMONT fait partie des figures historiques. Celle qui a (presque) tout connu de l’aventure exponentielle de notre CFA. Hormis Olivier FOUQUET et Olivier KIRSCH, elle est la plus ancienne des salariés de la Maison Camus. Rentrée en tant qu’assistante administrative en 2009, désormais directrice-adjointe de FORMAPI, Élise a su gravir les marches une à une… 12 ans de fidélité sans faille, un éclair à l’échelle contemporaine de notre CFA.

Au moment de se remémorer le chemin parcouru, Élise se souvient de tout ! Intarissable sur chaque moment, chaque époque, chaque évolution… mais surtout, elle retient des rencontres privilégiées : celle, fondatrice, avec Hélène GRASSI, son premier binôme dans la Maison qui a lui a « tant appris », avec Gérard DELANGLE son directeur général d’alors, sa fidélité sans faille voire historique envers Olivier FOUQUET, son immense respect pour Bernard DEPIERRE notre président fondateur…

« J’ai aimé les valeurs de la maison »

Du CFA du Sport de Bourgogne à FORMAPI, Élise THIÉBLEMONT sait ce qu’elle doit à la Maison Camus. Elle, la Haut-Marnaise passée par une prépa HEC à Troyes avant d’obtenir un Master Marketing/Communication à la Burgundy School of Business (BSB) de Dijon, est arrivée de ce côté-ci de l’avenue Camus un certain 17 novembre 2009…

Enrichie par de solides expériences professionnelles – 4 ans en tant que responsable secteur chez Emile Henry – auto-entrepreneuse dans les conseils financiers, Élise a alors découvert un nouveau monde : « Je suis sortie cabossée de mes emplois précédents, confesse-t-elle avec une franchise désarmante. Ici, j’ai trouvé ce qu’il me fallait : une structure familiale, l’envie de construire ensemble, le besoin d’un challenge collectif. On était moins de 10 salariés à l’époque, nous n’avions qu’une centaine d’apprenants pour débuter… J’ai aimé les valeurs de la maison, celle du sport en fait : y aller de toutes nos forces, l’entraide, l’esprit d’équipe, l’ambition d’aller toujours plus loin. Ici, on m’a fait confiance à un moment donné où j’en avais besoin. À ce niveau, le côté protecteur de Bernard DEPIERRE m’a tellement apporté. »

« Notre progression est loin d’être finie ! »

En bonne pionnière, la native de Chaumont n’est pas surprise par la trajectoire des marques de la Maison Camus. « Si on m’avait dit, il y a douze ans, qu’on en serait là ? Eh bien j’en étais persuadée, sourit-elle. Nous avons un outil extraordinaire, un tel savoir-faire dans nos mains pour répondre à la libéralisation du champ de la formation. Être un CFA hors les murs nous permet une réelle capacité d’adaptation pour répondre à n’importe quelle demande. À mes yeux, nous sommes aujourd’hui à un tournant. Il faut savoir se renforcer au niveau des hommes mais aussi des outils pour être encore plus performants. Mais j’y crois ! Notre progression est loin d’être finie. »

Au sein de FORMAPI, Élise THIÉBLEMONT c’est « Madame taxe », le fameux 13 % : « Là aussi, ça a tellement évolué. N’oublions pas qu’avant l’avènement du coût contrat, la taxe constituait notre principale ressource de financement. Mais là encore, en équipe, on a toujours su nous adapter. »

Idem pour prendre le virage de la communication. « Auparavant, on se contentait de nos propres réseaux, ceux de nos clubs. Ça suffisait à notre développement. Et puis il y a eu l’explosion du champ de l’apprentissage mais aussi la crise de la COVID, cela a entraîné une vraie prise de conscience au niveau de la communication de FORMAPI. Il a fallu s’adapter pour développer nos outils, les réseaux sociaux, les nouvelles techniques… Et là encore, nous y sommes parvenus au sein d’une équipe renforcée. Grâce à ces choix-là, nous possédons aujourd’hui toute la latitude pour répondre à toutes les demandes avec réactivité et efficacité. Les enjeux sont tellement importants. »

Et de conclure. « Ici, en 12 ans, je n’ai jamais vécu une journée à laquelle je m’attendais le matin en arrivant. C’est peut-être ça qui me plaît le plus. »

Parole de pionnière !

Elise THIÉBLEMONT et son équipe du Pôle Communication, Justine MOISSELIN, Laure-Hélène BAYAM et Hélène PETIT